Du copeau, qu’il est beau et qui sent bon !

car l’imbuya, c’est une tuerie, niveau odeur ! ça sent bon, mais bon… une après midi de rabotage et j’ai les pognes qui sentent meilleur que tous les parfums de la terre. un régal pour les narines. ça fait penser au bois de cèdre anti mite mais en plus subtil.

donc, vous l’aurez compris, j’ai mis a l’épaisseur mon set destiné a mon fond et table.

on part d’environ 5 mn d’épaisseur pour aller a 1.5 mn, pour suivre le plan de uke de l’immense Christophe Grellier qu’il met gracieusement a disposition de tous.

1 mètre cube de copeau plus tard et le bras aussi musclé et luisant de sueur que Schwarzenegger remontant la fermeture éclair de son gilet armurerie portable dans  » commando », on approche des 1.5 mn. j’ai laissé une petite marge pour finir au racloir car malgré un affûtage au poil, l’imbuya est plein de fil et contrefil et ça arrache quand même pas mal. donc, racloir pour finir.

puis découpe grossière de la forme finale.

j’ai procédé aussi au rebouchage d’un trou de bestiole ( décidément… ) un peu trop voyant

un mélange de colle, de poussière d’imbuya et un mini flipot dans une partie sombre d’une chute et on verra demain si j’ai bien bossé 🙂

j’ai aussi retrouvé les photos du collage des deux partie du set, que j’avais effectué dans mon atelier provisoire il y a déjà quelques années…

après avoir raboter les deux champ bien d’équerre, j’utilise ce système pour coller parfaitement les deux partie. bon, la, c’est la version chantier mais dans l’idée, ça marche pareil. encore un outil a refaire plus proprement…