Le manche et son tenon mortaise.
et la, on s’attaque a la partie casse roubignolle, number one, avec son ajustage qui doit être nickel.
donc, déjà, j’ai collé deux bout de bois sous le manche qui feront la hauteur de manche en respectant les sens de fil de bois pour que ce soit le plus harmonieux possible.
la forme de la caisse, étant tout, sauf classique, il a fallu reporter le tracé de la courbe pour attaquer le traçage final.
un bout de papier calque donne déjà une idée générale du tracé qu’il faudra affiner par la suite.
puis découpe en laissant un petite marge
puis on passe a la mortaise.
et le premier essai. ça rentre, c’est déjà ça…
puis après une bonne heure de petit coup de râpe, de ciseau a bois, de ponçage et de calage… 🙂
maintenant, que cette partie est pas trop mal réussi, ( au regard de la forme, je suis presque content de moi ) je peux passer au renversement de la tête du manche.
après traçage en suivant l’adage, mesure deux fois, coupe une fois, j’ai scié le bouzin a la scie japonaise qui se prête bien a ce genre de travail de précision. ( la scie japonaise coupe en tirant, ce qui permet de garder le trait de scie bien droit ) . traditionnellement, on part sur 15 °. ça reste harmonieux et permet une bonne tension des cordes.
puis collage avec comme d’hab’, open bar sur les serres joints en faisant gaffe que les deux partie ne glissent pas, a cause de la surface de collage en pente et qui ne demande qu’a se faire la malle et partir de traviole..
voila, pour cette fois. ça commence a se préciser tout ça.